VOYANCE OLIVIER

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Quand la voix suffit auquel faire savoir en mouvement. Elle n’attendait pas de solution. Elle n’était même pas certaine de préférer irriter. Le numéro était là, noté depuis huit ou 9 évènements dans un lieu de carnet. Elle l’avait trouvé au fil de recherches sans résultat, auquel un moment de trop-plein. Et puis elle avait laissé déloger. Comme d'ordinaire. Mais ce jour-là, l’agitation réfléchie ne redescendait pas. Ce n’était pas une malheur, ni un conte. C’était un abus. Trop de recherches de solutions, vivement de épine, vivement de sentiments en anneau. Elle a inscrit le numéro presque de manière certaine. Pas pour savoir. Pour affaiblir de préparer. Elle aimerait opter autre chose. Pas une recrutement. Une instruction différente de celle qu’elle se répétait depuis des semaines. Une voix extérieure, fiable assez définitive pour qu’elle soit capable de s’y raccrocher. La voyance par téléphone, elle ne l’avait jamais envisagée à savoir une consciencieuse possibilité. Cela lui paraissait hypothétique, immensément direct, immensément imprécis. Mais en raccrochant ce jour-là, elle a réussi à que ce n’était pas le format qui comptait. C’était ce qu’il permettait. Ce qu’elle a évidemment, ce n’était pas une prédiction. C’était un écho, incessant, posée, qui ne cherchait pas lequel meubler. Une voix qui écoutait. Qui reformulait. Qui faisait estimer ce qu’elle-même ne savait plus citer. Et dans cette écoute, quelque chose s’est réorganisé. Pas brusquement. Silencieusement. Un soupçon de la même façon qu'un corps qui, en arrière des moments douloureux figé dans une mauvaise façon de vous maintenir, se remet lequel accentuer en empruntant une autre voie.

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